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Au delà de la tolérance qui consiste à ne pas défoncer la gueule de celle ou celui que l’on ne supporte plus, passons à l’amour.
L’amour va bien au delà de la tolérance, elle est le don de soi. Je sais que c’est un bien grand mot, mais à notre petit niveau, le don de soi dans le simple fait d’agir avec bienveillance envers quiconque peu importe qui il est.
Il convient d’en faire ainsi avec les homosexuels, cependant le lobby LGBT nous a tendu un piège. Aujourd’hui, il ne suffit plus d’aimer les homos, mais d’accepter toutes les idéologies d’identités sexuelles qui se sont développées ces dernières décennies et d’y soumettre nos enfants.
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On veut nous faire croire que le fait d’être une femme ou un homme relève d’un choix. Or de toute évidence le choix n’a rien à faire ici.
La loi naturelle veut que l’on ne choisit pas son sexe biologique. La loi naturelle veut que la procréation ne peut se faire que par l’acte sexuel entre un homme et une femme. Ce sont des faits qui relèvent de la biologie.
Cependant les relations entre les êtres humains ne se limitent pas à l’acte sexuel, ni à la procréation. Il existe d’autres dimensions visibles et invisibles qui unissent deux personnes, que ce soit dans une relation hétérosexuelle ou homosexuelle. Le plus important est de ne pas vouloir ce qui n’est pas naturel.
Deux personnes de même sexe ne peuvent pas avoir des enfants, c’est une évidence; la loi naturelle ne leur permet pas de procréer; le fait de vouloir déroger à cette loi par la procréation assistée, etc. est contre-nature. De même, pour un couple stérile, ce qui n’est pas non plus un choix, vouloir à tout prix y remédier va à l’encontre de cette nature qui l’a fait stérile.
Un couple hétérosexuel stérile devrait pouvoir trouver une dimension relationnelle épanouissante sans que le fait de ne pas avoir d’enfant soit vécu comme une tare. Un couple homosexuel devrait pouvoir s’inscrire dans ce même cadre, à savoir une relation épanouie sans « obligation » de procréation.
Je fais une parenthèse pour les couples hétérosexuels qui adoptent des enfants, cela rentre bien évidemment dans le projet de Dieu.
Ce qui ne rentre absolument pas dans le projet de Dieu, ce sont toutes les techniques de procréation assistée, y compris les lesbiennes qui recourent à un « ami-étalon » et l’utilisent juste pour la saillie. En agissant de la sorte, elles contreviennent gravement à leur nature de lesbienne, qui leur a été conférée par Dieu.
Les gays et lesbiennes qui adoptent des enfants ajoutent aux difficultés de l’adoption, une dimension qui n’a pas lieu d’être si l’on respecte la loi naturelle et qui n’est jamais souhaitée par l’enfant, qui en l’occurrence n’a pas voix au chapitre…
Personnellement, j’ai choisi (sic) d’assumer le fait que je n’ai pas le choix … Vivre une relation amoureuse dans la fidélité, la confiance et le respect et dans une certaine discrétion.
Et je ne tire aucune fierté de mon homosexualité. Pour moi, le seul regret est que ma vie discrète m’a empêché de faire connaître à un cercle plus large ce compagnon, aujourd’hui décédé, pour lequel j’ai une grande admiration et avec lequel j’ai partagé une relation plus spirituelle que charnelle pendant plus de vingt ans.
Concernant l’inclusivité prônée à corps et à cris, y compris par certaines « églises », c’est une autre forme d’exclusion. Le seul endroit inclusif étant la place du village ou le bistrot du coin.
En regardant les affiches queer, je ne m’y reconnais absolument pas. Un gloubiboulga indéfini, où l’on ne distingue ni homme ni femme. Plus de différences, insipide, inodore, incolore.
Instrumentaliser une situation qui touche une infime minorité de personnes, et vouloir l’imposer à la majorité par de la propagande, n’a qu’un seul but : la destruction de la famille telle que voulue par Dieu, et la déstabilisation de toute la société. C’est cela qu’il faut combattre, tout en laissant un espace aux personnes qui n’ont vraiment pas le choix et pour lesquelles j’ai le plus profond respect et la plus grande compassion. J’ai d’ailleurs passé une soirée en compagnie d’une femme trans qui avait attendu d’avoir la cinquantaine avant d’opérer les changements qu’elle désirait. Rien à voir avec le questionnement adolescent qui doit être laissé pour ce qu’il est : un questionnement n’entraînant aucune conséquence physique ou psychique sur leur sexe biologique.
Lorsque je fréquentais les associations d’hommes homosexuels, notamment C+H, c’était pour y rencontrer des hommes qui, à priori, (je n’ai jamais vérifié de visu) ont une verge et une paire de testicules.
Aujourd’hui, ces associations, au départ gay, lesbiennes et bi, sont colonisées par la théorie du genre (qui s’infiltre même dans les écoles primaires et les bibliothèques « tralalalitées ») et par la folie trans imposée aux enfants et aux adolescents qui relève du charlatanisme et du business le plus sordide.
Merci pour ton commentaire et l’angle de vue supplémentaire qu’il apporte.